Je hais l'Europe, ce continent de pourriture xénophobe

La richesse en argent de l'Europe n'a d'égal que son égoïsme. Et à la différence de l'Amérique du Nord, les Européens sont extrêmement pessimistes.

Les Européens se plaignent de ne pas avoir assez d'argent pour faire des enfants, alors que ce sont les pays soi-disant pauvres qui sont les plus fertiles ! La vérité est que faire des enfants est une question d'optimisme ! Bien sûr que les Européens ont suffisamment d'argent pour faire des enfants, le problème, c'est que les Européens ont une vision négative de l'avenir.

Les Européens sont cupides, et augmentent leurs prix de façon délirante. À un tel point qu'il y a plus de pouvoir d'achat en Grèce qu'en Allemagne. Beaucoup plus.

Entre la sélection au travail où on ne recrute que des gens dociles, la sélection au logement où l'Allemagne et l'Espagne pratiquent des loyers à 600 euros par mois, la sélection ethnique où la Grèce m'a bien fait comprendre que je n'étais pour elle qu'un sale xenos à expulser, et dernier mais pas des moindres, la solitude croissante en Europe et l'effondrement de l'amour... je hais l'Europe.

Toutes ces histoires de nations... On sait où ça mène.

Pourquoi ne pas partir en Amérique ou en Afrique ? Si je vais au Canada, je me ferai défoncer par les femmes bourgeoises, si je vais dans un pays chaud comme la Colombie ou le Cameroun, mes ennemis du nucléaire vont me poursuivre et monteront tout le monde contre moi. Comme en Grèce ou à Gran Canaria. Aucune solution tant que leur entreprise de merde n'est pas ruinée.

Au final, je suis bloqué à la limite humide de la péninsule ibérique. C'est le seul endroit d'Europe où je retrouve l'optimisme américain ou africain. Il paraît que les hommes virils réussissent mieux dans les pays pauvres... À ceci près que déborder de testostérone ne suffit pas dans un pays où on est seul contre tous.

J'aimerais remonter le temps et quitter Grenoble. Quitter la France. Quitter l'Europe. J'ai l'impression d'être trop sauvage pour un continent aussi civilisé. J'ai fait de mon mieux, mais je n'ai pas réussi. Aujourd'hui, je cherche à diminuer mes standards pour trouver une ouverture.

En amour, l'Europe ne m'a pas laissé ma chance. J'ai l'impression d'avoir été discriminé. Complètement discriminé. J'étais trop intelligent.

Faites l'amour, pas la guerre.

Finir la quête principale

Dans Tales of Symphonia comme à l'école, ça ne sert à rien de chercher à gagner des points : il suffit d'aller au bout de la quête principale, et là on gagne beaucoup de points sans se prendre la tête.

Ma quête principale dans ma vie publique est naturellement de publier Omblio. Et je veux gagner ma vie avec. Et être reconnu. Une fois ce stade atteint, je serai enfin un homme. Et naturellement, je trouverai ma femme. Petite. Affectueuse.

J'ai envie de rencontrer des vraies personnes, des gens sympas. Plus libres, plus proches de la Nature. Je veux revenir à la vie sauvage, mais avec le confort minimal : eau, chauffage, électricité. Je veux bricoler pour que ce soit au top. Et partir à l'aventure.

Le miracle des femmes petites

L'expérience montre que l'affection physique pousse les arbres à croître en largeur plutôt qu'en hauteur. L'arbre développe l'hormone de croissance là où il a été touché. Il en va de même pour les femmes, qui lorsqu'elles sont petites, développent des courbes miraculeuses.

Une femme petite, même avec de petits seins, finira par développer une poitrine généreuse. On a peu de chances de se tromper avec une femme petite, tant elles sont belles et affectueuses.

Je n'ai jamais compris cette mode de la femme athlétique, la femme plate. Je préfère les femmes avec des courbes.

Du nouveau sur L'étoile du marin !

L'ÉTOILE DU MARIN POUR NOS AMIS LES MAL-CLIQUANTS !!!! 

Cessez de lire ce blog de merde, venez vous ressourcer vers votre étoile !

Au programme :

+ Le raffinement dans la simplicité ;
+ Le mythe de David contre Goliath ;
+ L'affection est la base d'un couple épanoui ;
+ ...

Et c'est à lire ici. Venez vous réchauffer auprès d'un bon feu stellaire ! :-)

Bon voyage, matelot !

La maison de mes rêves

 

"Je préfèrerais être simple berger plutôt que de régner sur le royaume des morts."
 

Roi des enfers, dans l'Odyssée d'Homère

J'aime le raffinement dans la simplicité. Plutôt que de vivre dans un appartement parisien et d'acheter le dernier gadget inutile à 600 balles, je préfère posséder ma maison de campagne et cultiver mon jardin.

L'infographie que vous voyez ci-dessus représente la maison de mes rêves. Elle est à la pointe de l'autonomie : eau de pluie récupérée dans une cuve souterraine, pépinière en serre semi-enterrée, cheminée traditionnelle, photovoltaïque et éolienne à haut rendement. Son toit est recouvert d'ardoise, et sa structure est renforcée par des arcs-boutants.

Plus une maison est autonome, moins elle coûte cher. La consigne de base en autonomie : débrouillez-vous.

Je n'aime pas la chambre individuelle, cette invention bourgeoise. Je préfère le cododo, à une correction près : la salle de bains servira à faire l'amour. Il s'agirait de mettre au point une pièce dédiée aux plaisirs du corps : baignoire à chaleur durable, lit propre, encens, musique pour faire l'amour, matériel de sport, lumière solaire filtrée par un revêtement arc-en-ciel... Ce serait la pièce des plaisirs des sens.

Et naturellement, il y aura un grand jardin :-) .

En attendant d'avoir un terrain, je m'entraîne sur un projet de caravane. Ça me fait du bien.

Soyez libres de faire ce que vous voulez faire.

Comment gagner à la loterie et tout perdre (ou presque)

Si ça m'arrivait, je donnerais tout aux pauvres et n'en garderai qu'un peu pour moi. Je préfère avoir le nécessaire, me faire plaisir de temps en temps, rester dans un budget positif, et être libre dans ma façon de gagner de l'argent comme de le dépenser.

Le propriétaire de mon appart' est sous curatelle... Qu'il travaille et gagne sa vie. Personne ne devrait être contraint dans sa façon de gagner ou de dépenser de l'argent. Les gens sont libres de faire ce qu'ils veulent. Y-compris d'exploser les lois liberticides :-) .

L'article en question.

Le monde est dangereux

C'est trop facile. Bon sexe, bonne nourriture... Le confort apparent dans lequel je vis a quelque chose de suspect. Comme celui d'un animal de bétail qui vit une vie facile... jusqu'au moment où on l'emmène à l'abattoir.

Le risque zéro, de même que la non-violence, n'existent pas. Fondamentalement, le monde est dangereux. Et je pense que ce sont les malaka, les grosses merdes, avec leur pseudo-bienveillance, qui vont tout foutre en l'air.

Je suis intimement convaincu que c'est avec Omblio que j'aurai du succès. Oneiric Hive n'a jamais suscité l'enthousiasme, alors qu'Omblio semble bénéficier d'une aura, d'une fascination. Peut-être qu'une fois le livre publié, plus rien ne pourra m'arrêter.