Je déteste la France, ce pays anti-love

Je déteste la France, ce pays anti-love moyen-âgeux, cette dictature où tous les plaisirs sont interdits. Je déteste ce pays en alternance entre la guerre civile et la dictature, ce pays de connards, de débiles et de cinglés ! Ici les gens sont tous tout seuls, aucune solidarité, ils ne veulent pas te parler, ne veulent pas t'aider.

10 % des Français sont intelligents, mais ce sont tous des connards. Ce sont des moutons enragés, des connards conformistes et normalistes, sans aucune fantaisie ni créativité.

Ici aucune femme n'est draguable, elles prennent la fuite tout le temps, même les manuels de drague ne marchent pas. C'est toujours la loi du plus connard, depuis que Macron a été élu, par 3 fois j'ai vu des victimes se faire enfermer.

Je déteste les femmes françaises, ces salopes bourgeoises anti-sexe qui n'aiment pas les hommes. Elles brisent la relation avant même qu'elle soit instaurée, elles prennent la fuite tout le temps. Franchement, les femmes françaises sont des salopes.

Et le pire dans tout ça, c'est que la France est tellement un pays anti-love que même le lot de consolation, à savoir la prostitution, est interdite en France, alors qu'elle est aujourd'hui légale en Allemagne, en Espagne, en Grèce, ainsi que dans de nombreux pays d'Europe.

Quand on pense qu'en Grèce, les animaux ne prenaient pas la fuite, les gens respectaient la Nature, et il y avait des tortues, des grenouilles, des lucioles, des chiens et des chats sauvages et fertiles, qui copulaient librement... Les gens te regardaient dans les yeux, et dans la ville où j'étais, à savoir Ioannina, les femmes étaient belles ! Elles grossissaient et elles prenaient tout dans les seins, c'était incroyable !

Le problème de la Grèce, c'est que les gens ne faisaient confiance à personne. Il y avait énormément de répression, et personne n'a rien fait pour me protéger contre ça ! 75 % des Grecs me rejetaient dès le début en disant "Non !", "Je ne sais pas.", et avec les 25 % restants, c'étaient de petites discussions, qui n'apportaient aucune information. Si seulement ils n'étaient pas aussi xénophobes, si les Grecs étaient ouverts, je serais resté avec eux.

Ici dans la montagne, l'ambiance est plus calme, mais je m'ennuie à mourir... Aucune femme ici n'est draguable, elles fuient le regard comme des salopes psychopathes, je veux les voir prendre une douche !

Je n'ai qu'une envie, c'est d'aller m'amuser en Espagne, parce que franchement j'en peux plus.