Volet décevant du voyage. Je voulais visiter la deuxième centrale géothermique du monde, Hellisheidi. La visite coutait pas bien cher, mais on ne nous montrait même pas les machines ! À quoi ça sert d'aller sur place si c'est pour voir un Powerpoint et trois quatre schémas/vidéos qu'on aurait tout-à-fait pu trouver sur Internet !
Quittant le musée ridicule, j'achète un petit bouquin sur l'utilisation de la géothermie en Islande. Ce sera mon seul souvenir de voyage.
La centrale de Hellisheidi produit 303 MW d'électricité. Elle rejette principalement de la vapeur d'eau, ainsi que du CO2 et du H2S, cette dernière étant la molécule attachée à l'odeur d'oeuf pourri. D'ailleurs, l'eau de douche du camping de Reykjavik sentait le H2S, on n'en sortait pas puant pour autant.
Pour revenir à la centrale, il faut savoir que 2 personnes suffisent à la faire tourner. Il n'y a pas de risque d'explosion.
J'ai décidé de mettre les pieds plus près des machines, dans une zone interdite. Je n'y ai pas vu grand-chose, et ai décidé de ne pas y rester trop longtemps : vaut mieux pas se faire choper !
De plus près, tout ce que je voyais, c'étaient des filets d'eau qui tombaient...
Panorama de la centrale géothermique Hellisheidi.
Je suis aussi passé à côté de deux barrages, probablement
tous deux hydroélectriques. Celui que j'ai le plus approché s'appelle Irafossstöd.
Il y en avait un autre plus en amont, du même genre, nommé
Ljosafossstöd. Je n'ai là-bas eu droit à aucune explication.
Irafossstöd et ses bidouilles électroniques auxquelles je comprends rien.
Un terrain de golf près d'Irafossstöd.
Au loin, le barrage Ljosafossstöd.
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Rappelez-vous : on a le droit de dire des conneries, mais au bout d'un moment, il faut se rendre compte que c'est des conneries et arrêter de les dire.