L'Espagne est un pays pauvre. L'Espagne n'est pas peu développée : elle est mal développée.
Des superstructures aberrantes feraient oublier des infrastructures merdiques...
Des scènes de misère, il y en a. Je me souviens de ce père qui était scotché à son stupidphone. Il en avait rien à foutre de sa fille. Elle était abandonnée dans un manège ridicule, qui s'agite quand on lui donne une pièce à la con. Ça, c'est les superstructures aberrantes.
Pour les infrastructures merdiques, vous aurez droit à des feux de circulation qui marchent mais ne servent à rien, des feux de circulation qui ne marchent pas alors qu'ils pourraient être utiles. Et à peu près tout ce que vous pourrez trouver dans l'article L'Espagne dysfonctionnelle.
N'achetez jamais du Made in Spain. En Espagne y a jamais rien qui marche.
Les Espagnols sont de véritables fainéasses. Ils ont inventé un mot, madrugar, qui signifie se lever tôt, pour une raison simple : ils ne le font pas !
Ils travaillent peu, et mal. Dans mon laboratoire, un collègue parlait d'un travail de précision, avec une super glue tellement imprécise (gros pinceau) que jamais je ne l'aurais acceptée. Ils ont vraiment des standards de merde.
À la caisse ou au bar, la personne fera perdre à tout le monde un temps fou parce qu'elle est pas fichue de faire passer les personnes une par une. C'est le zapping, l'attention diffuse. Aucun sens du service. Au Japon, c'est le client roi. En Espagne, c'est le client poubelle, de toute façon ils en ont jamais rien à foutre.
Des superstructures aberrantes feraient oublier des infrastructures merdiques...
Des scènes de misère, il y en a. Je me souviens de ce père qui était scotché à son stupidphone. Il en avait rien à foutre de sa fille. Elle était abandonnée dans un manège ridicule, qui s'agite quand on lui donne une pièce à la con. Ça, c'est les superstructures aberrantes.
Pour les infrastructures merdiques, vous aurez droit à des feux de circulation qui marchent mais ne servent à rien, des feux de circulation qui ne marchent pas alors qu'ils pourraient être utiles. Et à peu près tout ce que vous pourrez trouver dans l'article L'Espagne dysfonctionnelle.
N'achetez jamais du Made in Spain. En Espagne y a jamais rien qui marche.
Les Espagnols sont de véritables fainéasses. Ils ont inventé un mot, madrugar, qui signifie se lever tôt, pour une raison simple : ils ne le font pas !
Ils travaillent peu, et mal. Dans mon laboratoire, un collègue parlait d'un travail de précision, avec une super glue tellement imprécise (gros pinceau) que jamais je ne l'aurais acceptée. Ils ont vraiment des standards de merde.
À la caisse ou au bar, la personne fera perdre à tout le monde un temps fou parce qu'elle est pas fichue de faire passer les personnes une par une. C'est le zapping, l'attention diffuse. Aucun sens du service. Au Japon, c'est le client roi. En Espagne, c'est le client poubelle, de toute façon ils en ont jamais rien à foutre.
Les commerçants ne respectent pas les prix, ils chercheront sans cesse à vous arnaquer en vous demandant sournoisement quelques % de plus.
Les Espagnols ne cherchent pas la qualité : ils cherchent ce qui est pas cher. Une vie de qualité coûte cher. Mais une vie de merde, comme en Espagne, ça coûte pas cher !
Le taux de chômage en Espagne avoisine les 20 %. Même moi qui suis venu en stage, j'ai énormément galéré pour trouver, mais y avait un super salaire : 0 € ! Laissez tomber, c'est un pays où on passe les vacances.
Je pense que les Espagnols n'étaient pas faits pour la richesse. Ils sont plus adaptés à une vie d'amour et d'eau fraîche.
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Rappelez-vous : on a le droit de dire des conneries, mais au bout d'un moment, il faut se rendre compte que c'est des conneries et arrêter de les dire.