À chaque fois que je prends le Clopixol, j'ai envie de me tuer.
Il y a des gens qui meurent en psychiatrie. La vérité est que les sédatifs sont des mortifiants, qui détruisent l'esprit. Mieux vaut prendre des énergisants : plus de travail, plus de loisirs, esprit plus ouvert, plus actif et donc meilleure mémoire...
Je me rends compte que ça fait deux ans que je suis dans une impasse : perdu dans un village de montagne, sans voiture, sans travail, sans chérie et sous Clopixol.
La psychiatrie est une barbarie. Si on devait mettre sous Clopixol tous les mecs qui ont fait un coup de poing, ce serait instaurer la torture comme norme ! Pourquoi pas rétablir l'Inquisition, avec une police normaliste qui serait là pour réprimer tous les gens différents, noirs, homosexuels, marginaux ? Et ces gens-là osent nous dire que c'est pour notre bien ? Révoltons-nous !
Si je finis électrocuté sur un rail du train jaune, vous saurez que c'est la psychiatrie qui m'a tué.
La police française est elle aussi coupable. C'est elle qui m'a harcelé jusqu'à ce que je pète les plombs.
Il va falloir que je trouve une solution.
Certes, le Clopixol en Catalogne est un problème qui relève du détail. Certes, mon succès en Grèce, par le biais d'un groupe, relève du détail. Mais le Clopixol est un détail qui tue.
À BAS LA PSYCHIATRIE !
À BAS LA POLICE !
VIVE L'AMOUR ET LA LIBERTÉ !
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Rappelez-vous : on a le droit de dire des conneries, mais au bout d'un moment, il faut se rendre compte que c'est des conneries et arrêter de les dire.