Pourquoi est-ce que j'aime la Grèce ? Pour de bonnes raisons.
Tout d'abord, j'aime les Grecs pour leur liberté. Les gens s'habillent n'importe comment, ils ne jugent pas sur les apparences. Une femme peut très bien mettre sa main à la poitrine, une autre cueillir une fleur sur un arbuste au passage, les gens arrêtent leur voiture où ils veulent, la route est un deuxième parking. Ils ont une main pour le téléphone, une main pour la clope, ils conduisent le volant avec les genoux, et ils ont une troisième main pour la boisson ! Des fois, on se demande s'ils en font pas un peu trop.
Tout d'abord, j'aime les Grecs pour leur liberté. Les gens s'habillent n'importe comment, ils ne jugent pas sur les apparences. Une femme peut très bien mettre sa main à la poitrine, une autre cueillir une fleur sur un arbuste au passage, les gens arrêtent leur voiture où ils veulent, la route est un deuxième parking. Ils ont une main pour le téléphone, une main pour la clope, ils conduisent le volant avec les genoux, et ils ont une troisième main pour la boisson ! Des fois, on se demande s'ils en font pas un peu trop.
Ici, l'anarchie et le communisme ne sont pas une vague idée : c'est notre mode de vie. Toutes les publicités ont été arrachées, et il ne reste guère que celles de Coca Cola qui contribuent à donner à la ville son côté sexy. Les gens n'arrivent pas à boucler leurs fins de mois, d'où l'avènement d'une certaine économie gratuite. Tu peux partir avec ton gyros sans payer, et étrangement, tu payes moins cher la fois d'après... En revanche ils te demandent de travailler, le système n'incite pas à la mendicité.
À vrai dire, tout pousse à l'autonomie. En grec, le mot pour dire fort est le même que pour dire possible
(δυνατό). Le pays regorge de sites, dans les îles, sur le continent, où
il est possible de construire une maison autonome en eau, en chauffage,
en nourriture et en électricité. L'autonomie est notre idéal, et
ensemble, de par la qualité de nos liens, nous avons la force pour la
construire.
J'aime la Grèce parce que c'est un beau pays. Les paysages sont magnifiques, et il y a de tout : des montagnes, des fosses océaniques, la plage, des lacs, des marécages... La Nature est naïvement préservée. Nous ne parlons pas des problèmes d'écologie, parce que nous n'en avons pas. Rien à voir avec l'Allemagne, qui est verte sur le papier, mais qui dans le fond, est un monstre industriel tenu par des gros porcs capitalistes.
J'aime les Grecs car ils ont une profonde notion de l'amour. 87 % des Grecs ont du sexe chaque semaine. 75 % des Grecs mariés n'ont jamais divorcé. De tels chiffres incitent au respect.
Et puis l'ambiance ici n'a rien à voir... Les nanas surfent sur des trucs de cul avec leur téléphone, il suffit de jeter un regard sur leur écran pour voir que c'est vraiment des grosses obsédées. Les gens te vendent des bites en bois de toutes les couleurs, les figurines de cul, juste à côté des icônes chrétiennes, aucun complexe. Et puis franchement, les femmes sont tellement belles. Leurs poitrines me font tourner la tête, no soutif, no limit, elles prennent tout dans les seins ! Et j'avais lu sur Internet que la Grèce était, avec l'Ukraine, la Colombie et le Nigéria, un des pays où la qualité du sexe était la plus élevée. Il va falloir que je m'en assure.
Ce qui me plait chez les femmes ici, c'est qu'elles préfèrent qu'on les regarde dans les yeux. Elles préfèrent le vrai amour. Bien sûr qu'elles apprécient le plaisir sexuel, mais la profondeur, le sens de l'amitié, passe avant ça. Elles ont un côté éthéré et mystérieux, que je ne trouve pas chez les autres femmes. Peut-être que je vais leur donner une chance, après tout.
Voilà, je sais que c'était un peu stupide d'écrire ici, mais désormais vous connaissez mes raisons.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Rappelez-vous : on a le droit de dire des conneries, mais au bout d'un moment, il faut se rendre compte que c'est des conneries et arrêter de les dire.