Je me fais chier. Mis à part le master en énergie solaire, je n'ai cessé depuis 2017 d'accumuler les échecs : tantôt je me fais péter la gueule, tantôt la pratique me fuit parce que j'ai dû évacuer mon four appartement avant de pouvoir utiliser la parabole solaire du labo, tantôt je me fais virer de l'oasis, tantôt je tire un trait sur mon tour du monde à cause de la vieille folle qui m'insupporte et me force à trouver un logement, tantôt j'échoue à trouver un travail dans l'énergie solaire à Freiburg, tantôt je me fais enfermer, tantôt je me fais interdire de voiture en Allemagne, pour au final échouer, après 5 semaines, à trouver un logement à Freiburg ! J'en finirais presque par devenir craintif, genre le mec qui a peur de se faire taper par plus grand que lui.
On a bien fini par me proposer un travail à Freiburg : il s'agirait d'installer du photovoltaïque sur les toits. Un travail à la fois sportif, manuel et intellectuel, qui me permettrait de me structurer en m'apportant de l'argent, des compétences et des contacts. Mais mes parents ont fait tout un cirque parce qu'il n'y avait pas d'assurance maladie, alors que de mon côté je me contentais de me préparer physiquement et mentalement pour que tout se passe bien. Si j'étais tout seul j'y irai, en voyant ce que je me sens capable de faire ou non, mais si la vieille folle et le vieux flic apprennent que j'y suis allé, ils vont péter un câble, et sans leur soutien financier l'hôtel je tiendrai pas le choc. Dommage, j'aurais eu ma dose d'adrénaline.
Et puis le fait de m'imaginer dans mon rôle de père, tout de suite ça me rend protecteur et je renonce à des trucs super du genre faire des actions illégales avec Greenpeace :-) . Et soit dit en passant, ma baraque sera un joli bunker. On ne se refait pas :-) .
Et franchement les calmants ++ j'ai arrêté, ça rend gros, impuissant et sans fantasmes, c'était vraiment la dose Man-killer-no-guts-anymore. Un bol de thé le matin avec la dose minimale de médicament le soir, ça me convient parfaitement :-) .
Du coup, thérapie par le voyage, comme des gens gentils me l'ont déjà conseillé. Je veux aller dans les pays pauvres, en Afrique, en Asie, mais je préfère avoir un logement à moi pour préparer ça, sinon mes vieux vont me péter les couilles. Du coup,ce sera l'Europe de l'Est.
Ca va me faire du bien.
On a bien fini par me proposer un travail à Freiburg : il s'agirait d'installer du photovoltaïque sur les toits. Un travail à la fois sportif, manuel et intellectuel, qui me permettrait de me structurer en m'apportant de l'argent, des compétences et des contacts. Mais mes parents ont fait tout un cirque parce qu'il n'y avait pas d'assurance maladie, alors que de mon côté je me contentais de me préparer physiquement et mentalement pour que tout se passe bien. Si j'étais tout seul j'y irai, en voyant ce que je me sens capable de faire ou non, mais si la vieille folle et le vieux flic apprennent que j'y suis allé, ils vont péter un câble, et sans leur soutien financier l'hôtel je tiendrai pas le choc. Dommage, j'aurais eu ma dose d'adrénaline.
Et puis le fait de m'imaginer dans mon rôle de père, tout de suite ça me rend protecteur et je renonce à des trucs super du genre faire des actions illégales avec Greenpeace :-) . Et soit dit en passant, ma baraque sera un joli bunker. On ne se refait pas :-) .
Et franchement les calmants ++ j'ai arrêté, ça rend gros, impuissant et sans fantasmes, c'était vraiment la dose Man-killer-no-guts-anymore. Un bol de thé le matin avec la dose minimale de médicament le soir, ça me convient parfaitement :-) .
Du coup, thérapie par le voyage, comme des gens gentils me l'ont déjà conseillé. Je veux aller dans les pays pauvres, en Afrique, en Asie, mais je préfère avoir un logement à moi pour préparer ça, sinon mes vieux vont me péter les couilles. Du coup,ce sera l'Europe de l'Est.
Ca va me faire du bien.
Tu va etre bientôt papa ?
RépondreSupprimerHa ha ! Non, c'est juste que je me vois bien comme ça ! :-)
RépondreSupprimerT'as raison, faut voyager, c'est ce qu'il y a de plus thérapeutique. Faut pas se laisser impressionner par ce qui s'est passé lors de mon retour en Grèce.
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