Je hais les gens serviles.
Je hais les gens serviles.
Je hais les gens serviles.
Je hais les gens serviles.
Je hais les gens serviles.
Je hais les gens serviles.
Je hais les gens serviles, bordel de merde !
Pfff. Tous les mêmes. Aucune capacité à penser par eux-mêmes. Entre eux et moi, il y a autant de différence qu'entre des chiens et un loup.
Ils sont domestiques.
Je suis sauvage.
Et ils ne savent pas, oh non, ils ne savent pas, que la liberté n'a pas de prix.
Les gens ne sont pas méchants. Mais putain, qu'est-ce qu'ils sont cons ! Globalement. J'ose espérer que ceci puisse s'améliorer dans les décennies qui arrivent... Le temps presse.
11/30/2011
11/25/2011
Tentative de mise à mort de la mélancolie
Arf, c'est pas évident.
Je sais maintenant que ça ne sert à rien de se lamenter ni de se faire des soucis. Ça prend du temps et ça diminue son potentiel, en plus de rendre malheureux.
J'aimerais être comme ce pote parisien, musicien, qui a été capable d'accepter l'insensée et soudaine démission de son camarade batteur, et de tout de suite, au cours d'un coup de fil, opter pour la lutte vers la solution : trouver un autre batteur.
Aujourd'hui (enfin, "dodo-aujourd'hui", c'est-à-dire hier), je me suis pris une raclée. J'étais tout confiant dodo-hier, je me disais : "Ouais, c'est pas parce que Marion sort déjà avec un mec que j'ai aucune chance, allez je fonce je suis tout puissant !". Et puis il a fallu que la Nature revienne au galop et m'écrase au ras du sol des dures vicissitudes : Marion refuse de me parler au téléphone, oh, elle me le cache, peut-être veut-elle éviter un quelconque conflit (mais lequel ?), en tout cas, je suis pas prêt de devenir son petit-ami, étant donné que de toute façon, l'incommunication m'empêche de devenir son ami.
Darkness, darkness... Bon au moins maintenant, j'ai le ciboulo qui tourne mieux qu'il y a tout juste un an de cela, je me sens le coeur plus léger, les pensées plus claires, bref, ça va mieux.
Retour au sujet. Cette histoire avec Marion m'a tellement dépité que ce soir, je ne pouvais m'empêcher d'être triste. Une petite envie de suicide en plus, super, comme quoi l'amour rend fou !
J'ai un ami qui a lui aussi été très déçu en amour... Sauf que lui il dit que c'est de la faute des femmes : elles seraient inconstantes, passionnelles, avec une mécanique psychologique impossible à comprendre. Et si j'ai bien compris, il est devenu homosexuel ! Ha ! ha ! ha ! Et désolé si je suis un peu normaliste. Ben oui, si je l'étais pas du tout, j'aurais pas dit le "Ha ! ha ! ha !", mais bon, ça me fait du bien de me défouler un petit peu. :-)
À part ça j'ai été con de ne pas me charger de préparer mon TP de physique du solide à l'avance. Ça se règlera demain dans un labo que j'apprécie bien (pas comme Minatec), à grand coup de blocages, d'interrogations notées et de questions aux enseignants.
Si j'ai une conclusion, c'est la suivante : je dois améliorer ma capacité à la résilience. Yeah !
Je sais maintenant que ça ne sert à rien de se lamenter ni de se faire des soucis. Ça prend du temps et ça diminue son potentiel, en plus de rendre malheureux.
J'aimerais être comme ce pote parisien, musicien, qui a été capable d'accepter l'insensée et soudaine démission de son camarade batteur, et de tout de suite, au cours d'un coup de fil, opter pour la lutte vers la solution : trouver un autre batteur.
Aujourd'hui (enfin, "dodo-aujourd'hui", c'est-à-dire hier), je me suis pris une raclée. J'étais tout confiant dodo-hier, je me disais : "Ouais, c'est pas parce que Marion sort déjà avec un mec que j'ai aucune chance, allez je fonce je suis tout puissant !". Et puis il a fallu que la Nature revienne au galop et m'écrase au ras du sol des dures vicissitudes : Marion refuse de me parler au téléphone, oh, elle me le cache, peut-être veut-elle éviter un quelconque conflit (mais lequel ?), en tout cas, je suis pas prêt de devenir son petit-ami, étant donné que de toute façon, l'incommunication m'empêche de devenir son ami.
Darkness, darkness... Bon au moins maintenant, j'ai le ciboulo qui tourne mieux qu'il y a tout juste un an de cela, je me sens le coeur plus léger, les pensées plus claires, bref, ça va mieux.
Retour au sujet. Cette histoire avec Marion m'a tellement dépité que ce soir, je ne pouvais m'empêcher d'être triste. Une petite envie de suicide en plus, super, comme quoi l'amour rend fou !
J'ai un ami qui a lui aussi été très déçu en amour... Sauf que lui il dit que c'est de la faute des femmes : elles seraient inconstantes, passionnelles, avec une mécanique psychologique impossible à comprendre. Et si j'ai bien compris, il est devenu homosexuel ! Ha ! ha ! ha ! Et désolé si je suis un peu normaliste. Ben oui, si je l'étais pas du tout, j'aurais pas dit le "Ha ! ha ! ha !", mais bon, ça me fait du bien de me défouler un petit peu. :-)
À part ça j'ai été con de ne pas me charger de préparer mon TP de physique du solide à l'avance. Ça se règlera demain dans un labo que j'apprécie bien (pas comme Minatec), à grand coup de blocages, d'interrogations notées et de questions aux enseignants.
Si j'ai une conclusion, c'est la suivante : je dois améliorer ma capacité à la résilience. Yeah !
11/07/2011
Dilemme (non, Catherine, va t'en !)
Je ferai l'effort de ne faire aucun spoiler.
J'ai fini la trilogie Les fourmis de Bernard Werber. Je suis jaloux de cet écrivain : ses descriptions sublimes, son vocabulaire si riche, sa culture si vaste... Les centaines de petites idées qu'il faut avoir, qu'il a, et qui parsèment ses livres.
Quand je pense au premier roman que je suis en train d'écrire, je ne fais pas le poids.
Mais je sais comment il a fait. Et c'est tout simple. Son secret, c'est la vie sociale.
Je me sens coupable pour tout le travail universitaire que j'ai en retard : le cours de nucléaire que j'ai lamentablement séché et que je dois rattraper, le compte-rendu de TP qui aux dernières nouvelles n'a pas été fait, plus les TD de mécanique quantique, de nucléaire et de sciences du solide que je n'ai hélas pas pu faire durant les vacances de la Toussaint.
Et là, j'ai presque envie de tout plaquer. Enfin pas tout : juste les études.
Apprendre à connaitre les militants de la FSE, discuter de sciences et d'autres choses avec des élèves de ma classe... Rencontrer des gens à la cité U, danser certaines soirées, aussi...
Avoir une vie sociale conséquente. Merde.
Je ne me sens pas de taille à affronter les épreuves sociales et économiques qui s'imposeraient si je délaissais les cours...
Et pourtant... La vie sociale, l'effervescence sociale, est si tentante.
Que dois-je faire ? Une année sabbatique de plus ? La première a foiré, mais ça, c'était parce que je militais avec des bras cassés face à une bande de bureaucrates beaucoup plus forts : forcément, seul contre tous, on va pas bien loin...
Et je rêve de trouver l'amour. Quelle plaie que rien n'ait marché ! Il faut dire que j'ai été aussi stupide, parfois.
...
Peut-être faut-il que je trouve un compromis.
J. Il travaillait 10 à 12 h par semaine hors des exams en 3ème année de licence de physique. Et il a eu 17 de moyenne.
Comment il a fait ? Je l'ai observé, et je crois avoir des éléments de réponse à la question.
Ce mec là, en cours, il est extrêmement attentif. Il écoute, mais à un point ! J'avais bien essayé de faire pareil, en L2, mais ça n'a pas marché. Non, moi il faut que je me distraie, que me reviennent certaines obsessions, que je perde le fil d'une façon ou d'une autre. L'esprit de digression. Force et faiblesse.
J. Je serai bien incapable de faire comme lui.
Putain, j'ai l'impression d'être face à un dilemme.
Dormir moins ? Pas si facile...
...
J'ai réfléchi, et ben je suis pas fait pour faire technicien. Je suis trop intellectuel pour ces choses là. Et puis j'ai une si forte envie de créer...
Je crois que je suis fait pour la recherche, mais que la recherche n'est pas faite pour moi. Au risque de paraitre méprisant, je dirais que ce n'est là qu'une assemblée de gens prétendument scientifiques qui touchent à des trucs gigantesques et qui sont incapables d'avoir la dose de conscience morale suffisante pour manier leur savoir sans risquer, disons, de façon imagée, de se bruler. Ou de bruler les autres.
J'avoue, j'ai été un peu méchant sur le coup... -_- Mais çe me tue de ramer autant à la fac de physique et de voir sans cesse tous les jours les mêmes conneries. De la part des profs. Et des élèves qui les suivent.
Je me vengerai.
Puisque je dois me venger, que je m'attelle dès maintenant à mon travail courant. CM de mécanique quantique, TD de la même matière et TD de sciences du solide.
Courage.
J'ai fini la trilogie Les fourmis de Bernard Werber. Je suis jaloux de cet écrivain : ses descriptions sublimes, son vocabulaire si riche, sa culture si vaste... Les centaines de petites idées qu'il faut avoir, qu'il a, et qui parsèment ses livres.
Quand je pense au premier roman que je suis en train d'écrire, je ne fais pas le poids.
Mais je sais comment il a fait. Et c'est tout simple. Son secret, c'est la vie sociale.
Je me sens coupable pour tout le travail universitaire que j'ai en retard : le cours de nucléaire que j'ai lamentablement séché et que je dois rattraper, le compte-rendu de TP qui aux dernières nouvelles n'a pas été fait, plus les TD de mécanique quantique, de nucléaire et de sciences du solide que je n'ai hélas pas pu faire durant les vacances de la Toussaint.
Et là, j'ai presque envie de tout plaquer. Enfin pas tout : juste les études.
Apprendre à connaitre les militants de la FSE, discuter de sciences et d'autres choses avec des élèves de ma classe... Rencontrer des gens à la cité U, danser certaines soirées, aussi...
Avoir une vie sociale conséquente. Merde.
Je ne me sens pas de taille à affronter les épreuves sociales et économiques qui s'imposeraient si je délaissais les cours...
Et pourtant... La vie sociale, l'effervescence sociale, est si tentante.
Que dois-je faire ? Une année sabbatique de plus ? La première a foiré, mais ça, c'était parce que je militais avec des bras cassés face à une bande de bureaucrates beaucoup plus forts : forcément, seul contre tous, on va pas bien loin...
Et je rêve de trouver l'amour. Quelle plaie que rien n'ait marché ! Il faut dire que j'ai été aussi stupide, parfois.
...
Peut-être faut-il que je trouve un compromis.
J. Il travaillait 10 à 12 h par semaine hors des exams en 3ème année de licence de physique. Et il a eu 17 de moyenne.
Comment il a fait ? Je l'ai observé, et je crois avoir des éléments de réponse à la question.
Ce mec là, en cours, il est extrêmement attentif. Il écoute, mais à un point ! J'avais bien essayé de faire pareil, en L2, mais ça n'a pas marché. Non, moi il faut que je me distraie, que me reviennent certaines obsessions, que je perde le fil d'une façon ou d'une autre. L'esprit de digression. Force et faiblesse.
J. Je serai bien incapable de faire comme lui.
Putain, j'ai l'impression d'être face à un dilemme.
Dormir moins ? Pas si facile...
...
J'ai réfléchi, et ben je suis pas fait pour faire technicien. Je suis trop intellectuel pour ces choses là. Et puis j'ai une si forte envie de créer...
Je crois que je suis fait pour la recherche, mais que la recherche n'est pas faite pour moi. Au risque de paraitre méprisant, je dirais que ce n'est là qu'une assemblée de gens prétendument scientifiques qui touchent à des trucs gigantesques et qui sont incapables d'avoir la dose de conscience morale suffisante pour manier leur savoir sans risquer, disons, de façon imagée, de se bruler. Ou de bruler les autres.
J'avoue, j'ai été un peu méchant sur le coup... -_- Mais çe me tue de ramer autant à la fac de physique et de voir sans cesse tous les jours les mêmes conneries. De la part des profs. Et des élèves qui les suivent.
Je me vengerai.
Puisque je dois me venger, que je m'attelle dès maintenant à mon travail courant. CM de mécanique quantique, TD de la même matière et TD de sciences du solide.
Courage.
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