4/04/2012

Réflexions sur la physique

Je déplace ici un article qui n'avait pas sa place là où il était. Je reproduis aussi en partie les commentaires.

Cet article s'adresse en particulier aux physiciens et aux étudiants en physique. En effet, il recquiert une expérience assez conséquente de la physique pour être compris.
 
Ce sont des réflexions diverses sur la physique. Il y a de la matière à travailler : cet article ne sera abouti que lorsque des commentaires l'auront creusé comme il se doit.
 
Je vous passe le texte. :-)
 
La définition de l'interaction forte fait partie de la physique. Mais cette définition se fait dans le cadre de la chromodynamique quantique, qui est, si je ne m'abuse, basée sur la mécanique quantique, mécanique quantique que je considère, du moins dans son aspect "mécanique ondulatoire", comme non fondamentale.
Putain... Ça veut p't'être dire que si on arrive à creuser plus profond que la mécanique quantique et à trouver, genre, une théorie déterministe de laquelle on peut déduire la mécanique quantique, qui sait, il faudra peut-être réviser la définition de l'interaction forte.

La vraie relation fondamentale de la dynamique, c'est la relativiste. C'est une équation dans laquelle apparait c, la vitesse de la lumière. Dans le vide.
Peut-on dire que le mouvement des objets massifs est régi par la lumière ? Pas tout-à-fait. Le mouvement des objets est régi par les forces qui s'y appliquent, DANS UN RÉFÉRENTIEL DONNÉ. Il est aussi régi par c, qui apparait dans l'équation... On ne peut pas vraiment dire que c est régi par la lumière. Je dirais plutôt que le comportement de la lumière est aussi régi par c.
Et puis si je me souviens bien, tous les vecteurs de force vont à la vitesse c dans le vide : il y a aussi les gluons, pas que les photons...

"Je ne sais pas.", aurait répondu Einstein quand on lui aurait demandé s'il savait ce qui se passe dans le référentiel d'un photon. Peut-être Régis Dutheil donne-t-il la réponse dans son livre sur l'homme superlumineux, mais je ne crains que ce ne soient des conneries... À lire. Ç'a l'air d'être au moins une belle théorie, si elle est juste, tant mieux, si elle est fausse, tant pis.

En fait, cette relation fondamentale de la dynamique, avec c qui apparait, plus le fait que des photons sans masse peuvent donner naissance à de la masse, plus les illusions qui nous donnent l'impression d'un espace et d'un temps pas universels, tout ça, ça me fait penser : et si c'était pas la lumière qui était bizarre, mais nous, les massiques, qui étions dérivés de la lumière, et bizarres ?

Les quatre forces fondamentales sont censées être... fondamentales. Pourtant, toutes sont conservatives, donc toutes donnent lieu à des mouvements réversibles suivant le critère du "On remplace "t" par "-t" dans l'équation, et on regarde si ça revient au même.". Mais alors, comment émergent les forces non-conservatives de cela ?

La seule loi scientifique à manifester l'irréversibilité du temps est la seconde loi de la thermodynamique. Il me semble. Seulement voilà, des expériences ont prouvé que cette loi n'était pas toujours vraie.

Le temps serait-il "réversible" ? L'irréversibilité du temps n'est-elle pas une illusion qui apparait à l'échelle macroscopique ? Et puis d'abord, le temps est-il une ligne ? Le passé et le futur ne sont-ils pas façonnés par notre esprit ? Oh, je le crois maintenant : le présent est réel, mais pas le passé, ni l'avenir. Le présent n'est pas un point : ce que voit mes yeux n'est que passé, car il a fallu du temps aux photons pour venir. Ce que sentent ma peau, mon nez, ce qu'écoutent mes oreilles, ce n'est pas immédiat : il y a une part de passé là-dedans.
Le présent, c'est : je vois mon PC avec mon verre devant moi. Si je suis dehors, qu'il fait nuit et que le ciel est dégagé, le présent peut-être : je vois des étoiles, selon la distance, le temps de retard n'est pas le même. Le présent est une enveloppe, une bulle, pas vraiment un point qui défile sur une ligne de temps.

Le temps existe, mais je pense que ce n'est pas une ligne. Et le temps n'a de sens que si c'est au même endroit, car sinon... Ben il me semble qu'on ne peut tout simplement pas le mesurer. Et merde, j'ai perdu mon argumentaire là-dessus...

L'atome d'hydrogène. N'y-a-t-il pas moyen de le modéliser avec une force répulsive ? Parce que bordel, un électron en orbite autour d'un proton, la moindre perturbation et il est éjecté au loin, ou alors il plonge à l'intérieur et s'approche sans s'arrêter du proton.
Mais bordel, n'y-a-t-il pas tout simplement une force répulsive ? La mécanique de l'atome d'hydrogène, on l'explique à moitié avec les fonctions d'onde, mais :
-ce n'est pas suffisant !
-on a bien dû oublier une force puisque de toute façon, les forces existent même en mécanique quantique !
Et pourquoi on en parle jamais, de cette hypothèse de force répulsive ? À ce jour, je ne connais aucun prof qui m'a dit qu'on avait essayé, et que ça n'avait pas marché.

Et bordel de merde, pourquoi une particule chargée électriquement accélérée devrait émettre des photons ? Pourquoi le Bremsstrahlung ?

Et si les photons sont les vecteurs de la force électromagnétique... Ça veut dire que chaque particule chargée électriquement va dire aux autres particules où elle se trouve, elle envoie des photons comme messagers, ce qui fait que le r qui compte dans la formule n'est pas celui qui existe dans l'immédiat, mais celui qui existait au moment où le photon reçu, qui "donne la force", a été émis.
Mais du coup... Les particules ne doivent-elles pas se concerter, s'arranger pour envoyer les photons dans la bonne direction au bon moment pour que le photon soit reçu au bon endroit au bon moment ? Est-ce que l'espace et le temps s'arrangent pour que les photons soient reçus correctement ? Ou est-ce que les photons sont envoyés au pif, reçoit qui veut ? Dans ce cas-là, il en faut assez pour que toutes les autres particules chargées que celle émettrice reçoivent un photon... Toutes les particules chargées électriquement interagissent entre elles au moyen des photons, il faut avouer que cela pose une certaine contrainte...

Et la masse et le rayon de l'Univers vérifient la condition que vérifient ceux des trous noirs de Schwarzschild. L'Univers serait-il un trou noir ? Dans un autre contenu lui même trou-noir, etc ? Y aurait-t-il un univers infini qui contiendrait tout ?

N'y aurait-il pas des particules interagissant très peu avec les notres, ces particules appartenant au monde des infinis, les notres au monde des nombres finis ? Des particules plus rapides que le lumière qui seraient déjà parties tellement loin qu'on ne les verrait plus...

N'y-a-t-il pas des particules quasi-coupées de notre monde, à des énergies supérieures, ou inférieures ? D'ailleurs pourquoi n'essaierait-on pas de diminuer les énergies plutôt que de les augmenter dans le but de trouver de nouvelles particules ? Et si on se lançait dans les ralentisseurs de particules ?

Comment expliquer la diffraction avec des termes corpusculaires ? Les interférences ? Ne faut-il pas utiliser un autre langage pour comprendre ceci ? Ni ondulatoire, ni corpusculaire. Autre chose.

Autre chose... :-)

On dit que l'Univers est en expansion. Oui, mais en expansion par rapport à quoi ? En fait, c'est comme si au départ, on avait un disque uni, indifférencié, et que se détachent des morceaux, et qui rapetissent... L'expansion de l'Univers, c'est "Chacune des étoile s'éloigne des autres.". C'est comme si chaque étoile rapetissait par rapport à la taille de l'Univers, taille vue comme fixe. Pas forcément besoin de matière noire pour expliquer ça. Mais peut-être besoin de dire que la force électromagnétique varie avec le temps, car le rayon des atomes diminue par rapport à la taille de l'Univers, et qui sait, peut-être que c varie avec ? À cause de la relation c²*EPSILON0*MU0=1.

Ce qui impliquerait peut-être que les LAMBDA des désintégrations radioactives... changent au fil du temps.

Et ça m'énerve de voir qu'on n'a toujours pas trouvé de référentiel universel. À moins que ce ne soit le centre de gravité de l'Univers ? Je ne sais pas.

Un jour, un de mes profs a dit quelque chose du genre "Cette constante là, pour comprendre tout ce qu'il y a derrière, faut être balèze.".
Il parlait de la constante de Boltzmann.
Et je regrette de n'avoir rien appris de nouveau sur elle... :-(

La température, est-ce de l'énergie ? Y-a-t-il une relation universelle entre température et énergie thermique ? Y-A-T-IL UNE PUTAIN DE CONVERSION ENTRE KELVINS ET JOULES ???

Est-il vraiment impossible d'atteindre le zéro absolu ? Je ne sais pas, la pseudo démonstration selon laquelle il est impossible d'atteindre le zéro absolu repose sur un préjugé quant aux méthodes possibles pour y arriver ; dans cet argumentaire, on fait comme si la seule façon d'y arriver, c'est "isentropique adiabatique, isentropique adiabatique, etc". Pfff.
Si l'on peut atteindre le zéro absolu, ce serait un état instable, et d'autant plus facile à atteindre que le système est petit. Car la moindre perturbation causerait des disparités au niveau des vitesses.
Et puis... même si des atomes sont immobiles entre eux, il se peut que ce ne soit pas le cas des nucléons. Et des électrons. Tout immobile, en parallèle ? Faudrait vraiment essayer avec des particules élémentaires.

Et l'énergie de masse... On peut calculer les énergies de liaisons atomiques, reliées à des différences de masse, avec la formule de la force électrostatique. Travail pour emporter la particule vers l'infini. Mais alors... quelle est le lien entre force et énergie de masse ? L'énergie de masse serait-elle une espèce d'énergie potentielle ? J'avoue que tout cela m'échappe. Je ne sais pas trop ce qu'il se passe lors de la création ou destruction de masse.

Et la répulsion des solides... Force électromagnétique ou exclusion de Pauli ? Force répulsive ou occupation d'une case ?

Nous ne savons presque rien. Qu'on ne dise pas qu'il n'y a pas de travail : ce qu'il nous reste à découvrir en sciences est immense, et c'est tant mieux !

12 commentaires:

  1. Posté par Bibi :

    Quel bien triste jour pour l'UJF que le jour où tu as eu par miracle ta licence de physique. HONTE à l'équipe pédagogique de t'avoir accordé ce diplôme.

    RépondreSupprimer
  2. Posté par la fonction d'onde :

    Je suis pas d'accord avec le premier commentaire.. Ce n'est pas un triste au jour, bien au contraire: Tout le monde peut voir à la médiocritude de cette personne.

    Pour être franc, on s'est réuni avec une bande d'amie et la discution s'est orienté une nouvelle fois sur cette article. On s'est demandé si tu faisais exprès pour faire réagir les gens ou si tu es réelement mauvais. On pense que la seconde hypothèse est la plus probable. Certain iront même te proposer un cours de physique classique avec le fameux exercice du pendule... tu prend un corde et tu te balance... on verra se que la physique et la médécine te diront!



    Mais bordel, mais une recherche sur wikipédia pour comprendre tes conneries... Tu ne révolutionne rien, pire, tu montre au gens que tu ne connais rien aux bases.... si je te parle de la constante Kb, ça te dis quelques choses? La conversation d'invariant non plus?

    J'avoue que je n'ai plus la force de me moquer tellement je trouve tes propose grave et ton ignorance grande. Arrivé en bac+4 en physique et ne pas connaitre ça....

    Juste un exemple sur la dualité onde corpuscule (en t'en que fonction d'onde je suis "obligé) mais ça sera le seul "cours" que te donnerai, je ne susi pas là pour faire ton éducation. C'set pas mon boulot, et j'en es vraiment pas envie

    "Comment expliquer la diffraction avec des termes corpusculaires ? Les interférences ? Ne faut-il pas utiliser un autre langage pour comprendre ceci ? Ni ondulatoire, ni corpusculaire. Autre chose."

    Depuis quand la difraction n'est pas expliqué si on prends la lumière sous forme d'onde???

    au faite, nouveauté depuis le 17ème sicle je crois: on a déjà découvert qu'il y a un lien très fort entre l'énergie et la température... mais shut, c'est un secret qu'on se dis qu'entre physicien depuis 300ans...

    RépondreSupprimer
  3. Posté par Bête spatio-temporelle (c'est-à-dire moi) :

    "si je te parle de la constante Kb, ça te dis quelques choses?"

    Oui, quand même. La question est : quelle est toute la physique qu'il y a derrière ?

    À la fonction d'onde :

    "La conversation d'invariant non plus? "

    Ça me fait penser à la conservation de l'énergie ainsi que celle de la quantité de mouvement. As-tu quelque chose à ajouter sur le sujet ?

    "Depuis quand la difraction n'est pas expliqué si on prends la lumière sous forme d'onde???"

    Je vois de quoi tu parles. Mais je trouve cette explication insatisfaisante. L'expérience des fentes d'Young en mécanique quantique me laisse penser que le caractère ondulatoire est moins fondamental que le caractère corpusculaire, car si on regarde bien à l'écran, on ne voit pas des taches continues, mais des ronds. Et puis je trouve tout simplement que les descriptions ondulatoires, continues, sont floues ; qui sait, en creusant, on peut trouver des choses intéressantes ?

    "au faite, nouveauté depuis le 17ème sicle je crois: on a déjà découvert qu'il y a un lien très fort entre l'énergie et la température... mais shut, c'est un secret qu'on se dis qu'entre physicien depuis 300ans..."

    Alors donne moi LA formule qui compte et qu'on en finisse une bonne fois pour toutes. Parce que moi, j'ai l'impression qu'il y en a plusieurs : E=3/2N*kB*T, E=5/2N*kB*T... Où est la bonne ? 1/2 de kB T par terme quadratique du hamiltonien, oui, mais du coup, une Joule, ça fait combien de Kelvin ?

    Le débat est ouvert !

    RépondreSupprimer
  4. Posté par Jean Vladimir Térémetz :

    Bonjour
    D'abord et avant tout et une bonne fois pour toutes, savoir enfin ce qu'est réellement, concrètement l'univers :
    Les égarements mathématiques des scientifiques actuels ("relativisme", puis "quantisme") les ont amenés à construire un “Grand Collisionneur de Hadrons”, “LHC”, qui, pensaient-ils, “allait enfin leurs apporter la compréhension de l’univers”.
    Ce “collisionneur” qui a coûté plus de huit milliards d’euros, n’est en fait qu’une énorme et monstrueuse machine à pulvériser les atomes et ces scientifiques, comme des gosses qui ne pourront jamais comprendre comment est fait le jouet qu’ils pulvérisent à grands coups de marteau, ne pourront jamais comprendre ce qu’est l’univers.
    Le présent ouvrage, qui lui, explique enfin ce qu’est réellement, concrètement l’univers et comment il fonctionne, vaut donc déjà plus de huit milliards d’euros :

    www.liberes-des-mathematiques-savoir-enfin-ce-qu-est-l-univers.net

    Ce LHC, d'une part, n'est pas plus dangereux qu'un individu qui aurait décidé de pulvériser tous les grains de sable du sahara, un par un, et d'autre part les "trous noirs" n'étant également que produit d'égarement mathématique et n'existant nulle part ailleurs que dans les cerveaux de ceux qui les ont inventés, ce LHC n'est donc tout au plus capable que d'augmenter ces mêmes "trous noirs" dans ces mêmes cerveaux, et c'est tout.

    Bien cordialement Jean Vladimir Térémetz

    RépondreSupprimer
  5. Posté par Bête-spatio-temporelle :

    Désolé, je ne compte pas prendre la peine de lire ton texte en pdf. Mais si ça peut te rassurer, sache qu'il arrive parmi les physiciens de raisonner sans mathématiques : on appelle ça utiliser son sens physique. Ton idée de s'affranchir des mathématiques n'est donc pas complètement passée à la trappe. :-)

    RépondreSupprimer
  6. Posté par Bibi :

    Fonction d'onde : tu es notre héros ! Un peu trop trash, je n'aurais pas osé, mais en effet, l'auteur du blog devrait passer plus de temps à relire ses classiques qu'à étaler son ignorance, ce qui lui jouera des tours un jour ou l'autre. Et contribue a dévaloriser nos si chers diplomes de physique.

    Jean-Vladimir : hors sujet. En tous cas vous vous êtes trouvé un ami allumé.

    RépondreSupprimer
  7. Posté par Bête spatio-temporelle :

    À mes camarades de classe : allez, créez un blog, étalez vos idées sur la physique, mouillez vous un peu histoire que ça gagne en effervescence. Pour le moment, y a déjà beaucoup à débattre avec ce que j'ai dit, mais si d'autres s'y mettent, qui sait, ça peut être fun ? :-p

    RépondreSupprimer
  8. Posté par Relis tes cahiers !

    Je trouve dommage que tu discrédites l'une des plus belles théories qu'il soit, à cause de ton ignorance sur celle-ci! Je suis pour la remise en cause et le questionnement perpétuel, mais la remise en cause implique une connaissance parfaite de la théorie (ce qui n'a pas l'air d'etre ton cas): la mécanique quantique est une théorie déterministe, ton paquet d'onde qui contient les probabilités sur ta particule se déplace selon l'équation de Schrödinger (et l'équation de Dirac quand tu suppose ta particule relativiste). En appliquant la formule, tu connaitras la position de ton paquet d'onde au temps t que tu veux!! C'est ça la définition du déterminisme et pas le fait que les particules se comporte comme des ondes et donc qu'on est obligé d'utiliser des probabilités de présence...

    Es tu anismiste? Parce que tes propos sur le Bremsstrahlung y font penser... La particule "va dire à ses copines où elle est en lui envoyant des photons"... Elle leur dit pas où elle est: en étant accélérée, elle créé un champ magnétique (cf. cours d'électromagnétisme ou mieux de théorie des champs), ce champ se propage dans l'espace sous la forme d'un boson de jauge, le photon qui est émis dans à peu près toutes les directions. La particule ne "dit" rien, elle subit!

    Je pense que si je fais un commentaire sur tout les choses que tu as dis das ton blog, j'en ai jusqu'à ce soir. Je vais donc te conseiller soit de relire tes cours actuels, soit de faire un master de physique théorique pour comprendre que les bosons d'interaction (à l'exeption du photon) ont une masse et donc qu'ils ne peuvent pas se déplacer à la vitesse de la lumière (théorie de la relativité générale).

    A toi de voir, mais arrête de discréditer des choses que tu ne connais pas!

    RépondreSupprimer
  9. "mais la remise en cause implique une connaissance parfaite de la théorie"

    Non : une connaissance partielle peut permettre de critiquer la théorie sur un point, mais ce n'est pas sans risques.

    "la mécanique quantique est une théorie déterministe"

    Faux : le déterminisme, c'est quand il n'y a pas de hasard, or pour un système quantique soumis à l'équation de Schrödinger, la mécanique quantique dit qu'il y a plusieurs devenirs possibles, autrement dit, du hasard.

    Tu as une notion erronnée de ce qu'est le déterminisme.

    Pour y remédier, il y ça :

    http://etoiledumarin.over-blog.com/article-le-determinisme---une-pensee-a-remettre-au-gout-du-jour-37244549.html

    Pour ce qui est des photons et du Bremsstrahlung, je suis au regret de te dire que tu ne m'as nullement éclairé.

    En outre, ta participation future à cette discussion est la bienvenue.

    RépondreSupprimer
  10. C'est clair que si tu te prends comme référence pour comprendre la physique, tu vas rien y comprendre puisque tu ne comprends rien à la base. Un peu moins d'égocentricité te ferait le plus grand bien. Il faut un peu écouter ses professeurs et moins rester butter sur ses idées préconçues et au final qui ne te font pas avancer...
    Si tu avais écouté ce que disait Estelle Moreau, tu comprendrais que le déterminisme en mécanique quantique existe dans la propagation d'un paquet d'ondes. Un paquet d'onde va se propager sans hasard possible (cf. Equation de Schrödinger). C'est pourquoi la mécanique quantique est une théorie probabiliste et déterministe!!! Les deux mots peuvent très bien aller ensemble, c'est pas parce que tu penses que non que c'est pas le cas.
    Le déterminisme à la Newton et compagnie a montré ces limites dans la prédiction théorique des phénomènes atomiques. De plus, les nouvelles interactions sont pour l'instant des théories au delà du modèle standard qui s'appuient (d’ailleurs) sur la mécanique quantique et l'approche particulaire de la physique moderne... Et pour l'instant, je peux te le garantir, les résultats sont compatibles avec 0 donc pas de nouvelles forces qui pourrait remplacer le modèle des couches atomiques...
    C'est bien de rêver, mais il faut savoir se réveiller et arrêter de délirer!!

    RépondreSupprimer
  11. Je comprends ce que tu veux dire sur l'équation de Schrödinger :-) .

    Qu'est-ce que le déterminisme ? Je pense qu'avec un peu de souplesse d'esprit, on peut y répondre de plusieurs façons. La tienne, à propos de l'équation de Schrödinger, en est une, la mienne, avec l'absence de hasard, en est une autre, celle de nombreux militants, avec les fils d'ouvriers qui sont défavorisés dans leurs études, en est encore une autre. Laquelle choisir ? Pas forcément une seule, pour peu qu'on sache bien de quoi on parle.

    Je ne dis pas que la mécanique quantique se plante, au contraire, je suis bien content qu'elle soit là sinon je ne pourrais pas utiliser Internet sur mon ordinateur :-) . Je dis juste qu'il faut chercher à connaitre les lois qui gouvernent notre monde.

    Tu sais, mes histoires de déterminisme, dans le fond, je n'y crois pas dur comme fer : après tout, je n'ai aucune preuve que le hasard n'existe pas. Seulement je n'ai pas non plus la preuve qu'il existe. Du coup, quoi en penser ?

    RépondreSupprimer
  12. J'ai lu le texte de Jean Vladimir TÉRÉMETZ. Tout d'abord, il n'est pas pseudo-scientifique car il ne prétend pas être scientifique.

    Pour moi qui considère que l'on peut concevoir les choses un peu comme on veut, j'ai été moyennement choqué par les conceptions personnelles de l'auteur.
    Malgré une apparence globale de confusion, il y a des moments de cohérence très dure.

    Je n'ai pas aimé le passage sur l'énergétique, avec l'illusion d'une énergie inépuisable et illimitée. Même l'énergie solaire est épuisable (dans 5 milliards d'années il n'y aura plus rien).

    À la fin du texte, Jean Vladimir TÉRÉMETZ signale un fait remarquable : on ne peut vivre sans manger, c'est-à-dire détruire d'autres formes de vie. Si j'ai bien compris, l'auteur veut substituer à cette destruction l'utilisation d'une énergie inépuisable, avec l'idée d'un Homme qui aide les autres formes de vie.

    Ce texte n'est pas pire qu'une théorie des cordes ou une théorie de la supersymétrie car ils ont un défaut commun : le manque de données expérimentales.

    RépondreSupprimer

Rappelez-vous : on a le droit de dire des conneries, mais au bout d'un moment, il faut se rendre compte que c'est des conneries et arrêter de les dire.